« Sauvage, ça veut dire être libre entièremen », dit Joséphine Bacon. Lorsque les anciens nous quittent, un lien avec le passé disparaît. La poétesse innue incarne cette génération témoin d’une époque bientôt révolue. Avec charisme et sensibilité, Joséphine Bacon mène un combat contre l’oubli et la disparition d’une langue, d’une culture et de ses traditions. Sur les traces de Papakassik, le maître du caribou, Je m’appelle humain propose une incursion dans l’Histoire d’un Peuple multimillénaires aux côtés d’une femme libre.
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« Il y a quelque chose de frappant lorsqu’on visionne Je m’appelle humain, le lumineux portrait de Joséphine Bacon filmé par Kim O’Bomsawin : l’importance qu’accorde la poétesse à la transmission du savoir et à la vénération de ses ancêtres. Dans une société qui fait souvent l’impasse sur ses vieux, il y a un rappel sur la dimension qu’ils devraient revêtir à nos yeux. »(lesoleil.com)
« Je m’appelle humain : femme lumineuse, film lumineux » (lapresse.ca)
Première mondiale le 18 septembre 2020 au FCVQ (Festival de cinéma de la ville de Québec)
FCVQ : Prix collégial (ex aequo) & Mention Spéciale Grand Prix Compétition – Long métrage 2020
VIFF : Meilleur documentaire canadien 2020
CIFF : Meilleur documentaire canadien & Prix du Public 2020
Cinefest Sudbury International Film Festival – Prix du Public 2020